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Page:Comédie humaine - Répertoire.djvu/360

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Mariast, propriétaire, à Paris, rue de la Montagne-Sainte-Geneviève, 22, eut MM. d’Espard pour locataires, pendant presque toute la durée de la Restauration (L’Interdiction).

Marie-Jeanne, servante d’Angélique Madou, à Paris, en 1818 (César Birotteau[1]).

Marie des Anges (La mère), née en 1762, tante de Jacques Bricheteau, supérieure des Dames Ursulines d’Arcis-sur-Aube, préservée de l’échafaud par Danton, fit célébrer, le 5 avril de chaque année, une messe anniversaire à l’intention de son neveu et, sous Louis-Philippe, protégea un descendant du célèbre révolutionnaire, Charles de Sallenauve, nommé député de l’arrondissement par son influence (Le Député d’Arcis).

Mariette, le nom chorégraphique ou galant de Marie Godeschal.

Mariette, née en 1798, depuis 1817 au service des Watteville (de Besançon), fut, sous Louis-Philippe, malgré son horrible laideur, mais à cause de ses économies, courtisée par Jérôme, domestique d’Albert Savarus. — Mademoiselle de Watteville, éprise de l’avocat, exploitait Mariette et Jérôme au profit de son amour (Albert Savarus).

Mariette, vers 1816, cuisinière de mademoiselle Cormon (d’Alençon) ; quelquefois conseillée par M. du Ronceret ; simple fille de cuisine dans le même service, quand sa maîtresse devint madame du Bousquier (La Vieille fille).

Mariette fut au service de la Fosseuse, vers la fin de la Restauration, dans le village dont Benassis était le maire (Le Médecin de Campagne).

Mariette, en 1841, à Paris, dans la rue Plumet, cuisinière d’Adeline Hulot alors presque dénuée de tout (La Cousine Bette).

Marigny (Duchesse de), recherchée dans le faubourg Saint-Ger-

  1. Abréviation du titre qui, dans l’édition définitive de la Comédie Humaine, est Histoire de la Grandeur et de la Décadence de César Birotteau.