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Page:Comédie humaine - Répertoire.djvu/418

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croisait Goulard, sous-préfet, Poupart, aubergiste, les familles Cinq-Cygne, Maufrigneuse, Mollot (Le Député d’Arcis).

Parquoi (François), l’un des chouans pour qui l’abbé Gudin célébra une messe funèbre au fond des bois, non loin de Fougères, dans l’automne de 1799. — Ainsi que Jean Cochegrue, Nicolas Laferté, Joseph Brouet et Sulpice Coupiau, François Parquoi mourut de blessures reçues au combat de la Pèlerine et au siège de Fougères (Les Chouans).

Pascal, concierge des Thuillier dans leur maison de la place de la Madeleine, remplissait aussi, à l’église de ce nom, les fonctions de bedeau (Les Petits Bourgeois).

Pascal (L’abbé), aumônier de la prison de Limoges en 1829, vieillard plein de douceur, ne put arracher des aveux au détenu Jean-François Tascheron, prévenu de vol suivi d’assassinat (Le Curé de Village).

Pastelot, prêtre de l’église Saint-François du Marais[1] en 1845, veilla Sylvain Pons mort (Le Cousin Pons).

Pastureau (Jean-François), propriétaire, dans l’Isère, d’une « pièce de terre » endommagée, en 1829, par le passage des administrés du docteur Benassis (Le Médecin de Campagne).

Patrat (Maître), notaire à Fougères en 1799, connu du banquier d’Orgemont et recommandé à Marie de Verneuil par le vieil avare (Les Chouans).

Patriote, singe ayant appartenu à Marie de Verneuil, qui l’avait dressé à contrefaire Danton. — Le caractère sournois de cet animal rappelait Corentin à Marie (Les Chouans).

Paul, domestique de maître Petit Claud, à Angoulême, en 1823 (Illusions perdues).

  1. Située dans la rue Charlot actuelle.