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Page:Compère Mathieu - Les Pantins des boulevards, ou bordels de Thalie, 1791.djvu/101

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DES BOULEVARDS

je donnais des coups de cul, avec quelle mobilité ma fouteuse remuait le croupion ; nos bouches se confondaient, nos langues s’entrelaçaient ensemble, et cette superbe fouterie était ce qu’on peut appeler réellement une fouterie sans pareille.

le compère mathieu.

Mais que faisait pendant ce temps L’Écluse et sa compagne ?

valcourt.

Le vieux paillard maniait et remaniait son vit flasque et mou, essayait de bander, et jurait comme un charretier embourbé de n’en pouvoir venir à bout, et l’amie de ma couillardine se branlottait le clitoris en attendant mieux.

le compère mathieu.

Enfin, que tout cela devint-il ?

valcourt.

Lorsque j’eus foutu et refoutu la fille à