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Page:Compère Mathieu - Les Pantins des boulevards, ou bordels de Thalie, 1791.djvu/112

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LES PANTINS

ce moment avait le nez presque collé sur la chute de mes reins, qu’il observait avec attention, en reçut toute l’explosion. Il se retira précipitamment, et moi, tout en riant, je lui chantai ce couplet :

Air : Flon flon.

La chose ridicule
D’être peu satisfait !
Quoi ! Greuze, tu recule
Lorsque je lâche un pet !
Flon flon,
La riradondaine,
Gué ! gué !
La lira dondé !

Vous devez juger qu’il n’eut plus envie d’y revenir ; il me planta là ; mais, au risque de recevoir encore parfois quelques messagers fâcheux en examinant les fesses des coureuses de boulevard, il ne discontinuait pas pour cela de patiner les culs.