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Page:Compère Mathieu - Les Pantins des boulevards, ou bordels de Thalie, 1791.djvu/251

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DES BOULEVARDS

je cherche à me donner ; mais, par la corbleu ! je possède encore un vit ferme que j’essaierai d’enfoncer dans tous les cons qui s’offriront à mes lubriques désirs. Mon épouse pourra peut-être en enrager ; mais, tant pis : je n’en fouterai pas moins. Ses soins uniques doivent être maintenant d’élever Lolo et Fanfan, les fruits qu’elle a obtenus de mes ardentes caresses, et de maintenir sa réputation. Je ne puis lui offrir d’autres consolations que celles de fermer les yeux sur ses fouteries avec le jeune Latour. La fouterie ce plaisir inexprimable, doit être encore de son âge, qu’elle en fasse usage, j’y consens.

le compère mathieu.

C’est penser en cocu débonnaire.

monrose.

Ce serait me donner un ridicule que de penser autrement : on peut être cocu sans