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Page:Compère Mathieu - Les Pantins des boulevards, ou bordels de Thalie, 1791.djvu/268

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LES PANTINS

AU PUBLIC

Si, lassant votre patience,
En publiant ces faits divers,
J’ai pu démasquer cette engeance,
Tous ces vils suppôts des enfers,
Ces pantins, ces gueux, ces tribades,
Si fertiles en tours nouveaux,
C’est obliger leurs camarades,
De Paris sublimes maquereaux (bis).

Ne voyez dans ce digne ouvrage,
Que de bien rares vérités
Si foutre anima mon langage,
Il est celui des voluptés ;
Le plaisir est la seule idole
À qui j’offris un pur encens :
Daignez-en croire ma parole,
Et sourire à tous mes accents (bis).

FIN.