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Page:Compère Mathieu - Les Pantins des boulevards, ou bordels de Thalie, 1791.djvu/72

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LES PANTINS

Je fais travailler ma pine,
Puisqu’il est ainsi prédit[1].

le compère mathieu.

Il n’y a pas de mal à ça ; continue : je ne vois rien dans ta confession qui soit extraordinaire aux faits et gestes de tes dignes compagnons ; mais, pour pénitence, retiens bien ce que je vais te dire.

Fouts toujours, car c’est la loi :
Le cul, le con est fait pour toi ;
Qu’une aimable coquine…

gemond.

Eh bien ?

le compère mathieu.

Te chatouille la pine,
M’entends-tu donc bien ?

  1. C’est avec la Marseille, rue de Bourbon-Villeneuve, qu’il pratique le plus ce noble emploi.