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Page:Cooper - Œuvres complètes, éd Gosselin, tome 23, 1845.djvu/358

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Et pourquoi Lucie Hardinge ne conserverait-elle pas quelques traces de ces charmes qui embellissaient sa jeunesse ? N’était-ce pas son âme qui communiquait à sa figure cette expression suave et angélique qui la caractérisait ! L’âme est toujours la même ; pourquoi l’expression aurait-elle changé ? Oui, je le répète, Lucie est belle encore, plus belle à mes yeux, même que ses charmantes filles. Elle continue à faire le charme en même temps que l’orgueil de ma vie. C’est un bienfait dont, je ne rougis pas de le dire, je me prosterne tous les jours pour rendre grâce à Dieu.


fin de lucie hardinge.