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Page:Coppée - Œuvres complètes, Poésies, t3, 1888.djvu/143

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O vieux mort oublié, de qui l’orgueil humain
A sans doute rêvé l’éternel lendemain
Au sein du paradis, dans les apothéoses !

Aujourd’hui, n’as-tu pas un destin aussi beau,
Si ton esprit épars autour de ce tombeau
Chante avec les oiseaux et fleurit dans les roses ?