Aller au contenu

Page:Coppée - Œuvres complètes, Poésies, t3, 1888.djvu/282

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée


Non ! je ne deviendrai jamais pareil à vous,
Dont quelques chaudes nuits font de calmes époux,
Et qui n’aimez qu’un temps, comme on jette sa gourme.

Regardons-les passer, ma mie, et plaignons-les,
Ces couples sans désirs qui traînent leurs boulets,
Ainsi que des forçats sous les coups de la chiourme !