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Page:Coppée - Œuvres complètes, Poésies, t4, 1909.djvu/143

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Quand un arbre perd une branche,
En meurt-il ? Nos cris de revanche
Gênent l’Europe et lui font peur.

Ce chant de guerre qu’on entonne,
C’est importun, c’est monotone…
— Soit ! Seulement, c’est notre honneur.