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A L’EXILÉE
(VINGT-CINQ ANS APRÈS)
Dans l’église, qu’est-il de plus sacré ? Le chœur.
Et, dans le chœur ? L’autel. Sur l’autel ? Le calice.
Pour qu’il te purifie et pour qu’il t’ennoblisse,
Garde son souvenir, calice de mon cœur !