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Page:Coppée - Œuvres complètes, Poésies, t4, 1909.djvu/80

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Car, toi, tu sors du peuple, et jadis, pauvre fille,
Cachant sous tes gants frais des piqûres d’aiguille,
Tu connus la valeur des dimanches d’été.

A toi seule je dois quelques heures fleuries.
En route, et plantons là mes vaines rêveries.
Le bon soleil et toi, voilà la vérité !