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Page:Correspondance d’Eulalie, 1785.djvu/183

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Mais j’apperçus ta figure enfantine,
Et de nouveau l’amour fut mon vainqueur ;
Mais maintenant jamais aucune mine
Ne pourra rien ſur mon fidele cœur.

Correspondance d’Eulalie, séparateur
Correspondance d’Eulalie, séparateur
Ton cher amant, ma charmante Riviere,

En ce moment, ne forme qu’un déſir :
C’eſt que bientôt, devenant tendre mere,
Nous puiſſions voir notre amour s’affermir ;
Mais de ton ſexe aimable et très-volage
Jamais n’imite la légereté :
Joins la ſageſſe aux attraits du bel âge,
Et tu ſeras ma chere déité.


Pour la premiere danſeuſe, c’eſt un ſquélette qui n’a que la peau ſur les os. Le Prince Marſan a cru avoir ſes prémices, il l’a entretenue quelque tems ;