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Page:Correspondance d’Eulalie, 1785.djvu/335

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Le venin qu’il diſtile,
Eh ! bien,
Fuit en vapeur ſubtile,
Vous m’entendez bien.

Correspondance d’Eulalie, séparateur
Correspondance d’Eulalie, séparateur
De tel barbouilleur de papier.

Qui mandie un brin de l’aurier ;
Je ris de la ſottiſe.
Eh ! bien.
Et cela l’émêtiſe,
Vous m’entendez bien.

Correspondance d’Eulalie, séparateur
Correspondance d’Eulalie, séparateur
De la Marotte de Momus,

Je frotte l’orgueil d’un Craſſus :
La friction cauſtique,
Eh ! bien,
Guérit ce mal chronique,
Vous m’entendez bien.

Correspondance d’Eulalie, séparateur
Correspondance d’Eulalie, séparateur
Sous le maſque de l’amitié,

Si l’on m’a ſéduit à moitié,

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