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Page:Correspondance d’Eulalie, 1785.djvu/358

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c’eſt que ma maîtreſſe ne connoît pas le danger où elle eſt. Elle eſpere en revenir. Elle ne ceſſe de parler de Madame et bien regretter qu’elle ne ſoit point ici ; elle dit qu’elle ne ſeroit pas toujours ſeule. Ma maîtreſſe a une criſe qui la prend et je vais lui donner mes ſoins.

J’ai l’honneur d’être avec un très-profond reſpect,

Madame,
Votre très-humble
et très-obéiſſante
ſervante.
Lettre de Mademoiſelle Victorine.
Paris, ce 3 Octobre 1783.


Voici, ma bonne amie, un petit conte charmant que m’a dit mon auteur. Je gage qu’il t’amuſera.