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Page:Correspondance d’Eulalie, 1785.djvu/376

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J’aime le doux murmure
D’un paiſible ruiſſeau ;
Le tapis de verdure
Ou ſerpente ſon eau
Plaît à l’ame attendrie :
Là, ſur un lit de fleurs
Regne la réverie
Sur les ſenſibles cœurs.

Correspondance d’Eulalie, séparateur
Correspondance d’Eulalie, séparateur
J’aime de la fauvette,

L’accent tendre et léger.
Et l’écho qui répète
La chanſon du berger :
J’aime la tourterelle ;
Son amoureuſe ardeur,
Et ſa flamme fidelle,
Intéreſſent mon cœur.

Correspondance d’Eulalie, séparateur
Correspondance d’Eulalie, séparateur
J’aime de la nature,

Les attraits renaiſſans,
Sa riante parure,
Ses boſquets verdoyans,