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Page:Correspondance d’Eulalie, 1785.djvu/63

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Que manque-t-il à ce cœur qui l’adore ?
Je vois Jeannette, et même je la tiens.
Dieu ! il eſt donc un bien plus doux encore ?
Mais taiſons-nous ſur ce ſouverain bien… Bis.

Correspondance d’Eulalie, séparateur
Correspondance d’Eulalie, séparateur
La voir, l’ouir, la tenir même encore,

Triple bonheur, oui, vous fûtes le mien.
Jeannette eſt ſage et l’amant qui l’adore
Peut tout attendre, hors le ſouverain bien… Bis.