Page:Courier Longus 1825.djvu/279

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que tout, ce fut qu’on y faisoit connoître la haine de l’Italie pour ce gouvernement et pour le nom françois. Bonaparte croyoit être adoré par-tout, sa police le lui assuroit chaque matin : une voix qui disoit le contraire embarrassoit fort la police, et pouvoit attirer l’attention de Bonaparte, comme il arriva ; car un jour il en parla, voulut savoir ce que c’étoit qu’un officier retiré à Rome, qui faisoit imprimer du grec. Sur ce qu’on lui en dit, il le laissa en repos.)