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Page:Crémieux et Halévy - La Chanson de Fortunio, 1868.djvu/48

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BABET, lui frappant sur la joue.

Taisez-vous, Fortunio (Friquet tombe à genoux.)

VALENTIN, au milieu du théâtre.
––––Notre patron possédait de la voix
–––––––––––Autrefois !
TOUS.
–––––––––––Autrefois !
VALENTIN.
––––Auprès du sexe il chantait à tû-tête
–––––––––––Autrefois !
TOUS.
–––––––––––Autrefois !
VALENTIN.
––––Notre patron dont la bouche est muette
–––––––––––Aujourd’hui !
TOUS.
–––––––––––Aujourd’hui !
VALENTIN.
––––Prétend que tout se taise autour de lui
–––––––––––Aujourd’hui !
TOUS.
–––––––––––Aujourd’hui !

(Les clercs tombent aux genoux des grisettes. Fortunio paraît au balcon, fait rentrer sa femme et menace les clercs. — Tableau. — Le rideau baisse.)



FIN.