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Page:Créquy - Souvenirs, tome 10.djvu/12

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La Maison de Brienne (représentée par son rameau de Conflans d’Armentières remonte à l’an 982, avec le titre de Comes, miseratione divinâ[1].

La Maison de Polignac-Polignac, arrive à l’année 984 avec la qualification de Vice-Comes, Deo favente.

Celle de Créquy, à l’an 984.

De Mailly de Nesle et D’Haucourt, à l’an 987.

De Beauvau-Craon, à l’année 986 par induction, d’un acte de 1017.

De Pons-Mirambeau-Rochefort, avec la qualité de Magnus et Potens vir en l’année 992.

De Sabran, remonte à l’an 993, avec citation d’un aïeul paternel qui devait exister vers l’an 910.

De Rochechouart-Mortemart et Faudoas-Barbazan, a l’année 996.

De Harcourt-Harcourt, à l’année 997, par un acte de 1024.

De Luzignan, 1011
De la Rochefoucauld, 1011,

dans le même acte, avec citation de leur aïeul commun.

De la Tour d’Auvergne-Turenne-Bouillon et de la Tour d’Apchier, 1014[2]

.

  1. Il en subsiste encore un rameau dans les Pays-Bas qui porte le nom de Brinen. et qui est issu d’Érard de Brienne, Sire de Rameru, en 1267 par Thierry, Châtelain de Brienen en Gueldres, lequel avait épousé Marie de Lynden, en 1336, et desquels sont provenues les trois branches de Brienen Guesselt, de Grootelindt, et de Loëwendaël, encore existantes. (Note de l’Éditeur.)
  2. On dit aussi La Tour et Taxis, mais les preuves n’en ont pas été produites en France. ( Note de l’Auteur.)