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Page:Créquy - Souvenirs, tome 5.djvu/123

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DE LA MARQUISE DE CRÉQUY.

était dans ses occupations philosophiques et politiques. La principale chose qu’elle exigeait pour la gouvernante et le précepteur de ses enfans, c’est qu’ils eussent connu l’amour et qu’ils ne le connussent plus, ce qui n’était pas facile à constater

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On disait aussi que sa fille avait une ressemblance parfaite avec M. de Constant, ce qui me rappelle une plaisante réplique du petit de C…, à qui je ne sais quelle amie de Mme de Staël avait dénié la chose, en disant que Benjamin Constant lui paraissait d’une laideur ignoble, tandis que Mlle de Staël était belle comme un ange ! — Prenez-la par le bras, répondit-il, cassez-lui les dents, arrachez-lui les cheveux et traînez-la dans le ruisseau pendant trente ans, vous verrez qu’ils se ressembleront comme deux gouttes d’eau

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C’est depuis la mort de son mari que Mme de Staël s’est avisée d’ajouter à son nom celui de Holstein, ce que les trois branches de la maison royale de Holstein n’ont jamais pu s’expliquer, et ce que