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Page:Curwood - Kazan, trad. Gruyer et Postif.djvu/145

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leur cercle, qu’ils rétrécirent peu à peu, de façon à se rapprocher insensiblement de leur victime. Quand ils furent tout près de lui, le gros taureau eut un dernier et vain sursaut. Il retomba.

Louve Grise, s’asseyant sur son derrière, jeta dans la solitude gelée, où sévissait la famine, un cri triomphal et lugubre.

Pour elle et pour Kazan, les jours de la faim étaient terminés.