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Page:Curwood - Kazan, trad. Gruyer et Postif.djvu/192

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bûches s’accumulaient les unes à la suite des autres et la digue ne tarda pas à s’étendre sur une longueur d’une centaine de pieds.

La tribu en était là de son travail quand, un beau matin, Kazan et Louve Grise s’en revinrent vers leur domicile.