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Page:D. - Mémoires d’une danseuse russe, 1893.djvu/155

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jusqu’aux entrailles, lorsque la contraction se reproduisit, l’arrêtant de nouveau dans sa promenade. Mais cette fois il y goûta un tel plaisir, que lorsqu’on lui apprit la cause de cette contraction si bienfaisante, il voulut se loger dans les fesses de Rita. Mais pour le mettre en état les deux amies durent lui prodiguer leurs caresses.

Rita elle aussi était passé par là ; mais le jeune barine n’entra ici encore que grâce au concours complaisant des doigts qui devaient lui ouvrir l’huis resserré. Ici aussi il entra dans un gîte brûlant se heurtant à des fesses saignantes.

Il sentit le fourreau se contracter deux fois, l’obligeant à deux escales avant d’entrer au port. Ce ne fut qu’à la troisième qu’il fut du voyage. Ce n’était pas surprenant avec le feu qui leur flambait les fesses.

Il voulut les voir à l’œuvre l’une après l’autre, puis les deux ensemble comme on les avait surprises cette nuit. Mais cette posture, elles ne pouvaient guère la prendre à cause de l’état de leurs fesses et l’on renvoya le jeu d’ensemble au lendemain.

Il avait pris à les voir jouer leur solo des