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Page:D. - Mémoires d’une danseuse russe, 1893.djvu/268

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me tordant sous la volupté, quand il inonda mon sein.

Il fut si content de moi, qu’il me dit que ma prison cesserait le jour même, mais que je devrais revenir tous les soirs avec ma maîtresse, sans passer par la salle du fouet, qu’il me ferait assister à la danse des fesses, que je verrais cette fois sans prendre part au bal.

Je me promettais, maintenant que j’avais pris du plaisir avec un homme, d’en prendre un bien plus grand avec le spectacle émoustillant du jeu lascif des fesses fouettées.

On me ramena en voiture chez la modiste dans la matinée.


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