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Page:D. - Mémoires d’une danseuse russe, 1893.djvu/270

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duisit vers un fauteuil dans lequel il s’assit. Je dus rabattre les pans de sa culotte, et lui caresser l’outil, qui n’en avait cependant pas grand besoin, car il était en fort brillant état. Les cris qu’on entendait dans la salle du fouet annonçaient que la séance était en train. Il avait dû en profiter.

Il m’assit à cul nu sur son outil, qu’il tenait d’une main, l’aidant de l’autre à se faufiler entre les bords. Il s’enfonça sous le poids de mes fesses, qui vinrent se reposer sur son ventre et sur ses cuisses nues, dilatant la gaîne encore étroite, mais qui la recevait maintenant avec le plus grand plaisir. J’étais à peine reposée sur ses cuisses, que je poussai un petit soupir en me tordant sur le membre.

— Bigre, que tu es prompte ! Défais ton corsage.

Il prit dans ses mains mes deux petits tétons qui trouvèrent ce contact agréable.

— Écarte ce rideau.

J’écarte le rideau, et je me trouve en face d’un verre grossissant, comme il y en a dans les panoramas, qui donnait sur la salle de bal. La fille qu’on fouettait avait