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Page:D. - Mémoires d’une danseuse russe, 1893.djvu/415

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croisa ses jambes sur les miennes, embrassa mon buste dans son bras gauche, écrasant mes tétons sur sa poitrine, pour m’obliger à ne remuer que le postérieur et il me fessa, m’appliquant une vingtaine de claques bruyantes de sa forte main d’homme, qui me mirent le feu au derrière, tandis que je sentais croître démesurément sous mon ventre la plante sensitive qu’il a au bas du sien.

Il me fit m’agenouiller, m’obligeant à me tourner du côté du pied du lit, la tête sur le drap, où il vint me prendre en levrette, pour pouvoir profiter de l’incendie qu’il venait d’allumer dans mon postérieur, et qui s’était communiqué à mon devant. Lui aussi fut surpris du frétillement presque immédiat de mes fesses, et du tressautement de mes tétons dans ses mains, qui précéda le terme de son voyage, et qui reprit quand il entra au port.

Cinq ou six fois il recommença ce manège dans la nuit, variant la fessée, me cinglant sur les cuisses, entre les cuisses, me retournant pour me cingler au bas de la toison, dont il s’amusait à secouer les poils. Toutes ces piquantes caresses me cuisaient, et cepen-