Aller au contenu

Page:D. - Mémoires d’une danseuse russe, 1893.djvu/446

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 80 —

sée, mais mes fesses se tortillaient de la belle façon.

Quand les fesses et les cuisses furent partout d’un beau rouge cardinal, les fouettées durent s’agenouiller sur le gazon, toute la pelouse en était couverte. Les amis des Grands-Ducs, qui étaient tous jeunes et vigoureux, se logèrent assez facilement dans l’hiatus entrebâillé, venant s’appuyer sur les croupes incendiées, et joutèrent dans un repaire brûlant, accrochés aux gros tétons de leur monture.

Quand je sentis le noble outil Grand-Ducal pénétrer un peu brutalement entre les lèvres que je lui ouvrais, écartant les obstacles, ma vanité ne connut pas de borne, et quand son ventre princier vint heurter mes fesses brûlantes, elles frémirent de plaisir.

Il fut surpris d’une riposte aussi prompte, l’attribuant sans doute à l’honneur qu’il faisait à mon con de serve d’y loger un outil royal. Que ce fut ça, ou autre chose, il voulut que ses amis les plus vigoureux s’en rendissent compte sur le champ.

Pendant les joutes charnelles les filles de chambre avaient installé sur la pelouse les