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Page:D. - Mémoires d’une danseuse russe, 1893.djvu/451

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À celle-ci, il fallait un peu plus de temps qu’à la première, aussi les encouragements devenaient plus piquants vers la fin de la séance.

Il y avait un an que j’étais passée par les mains des Grands Ducs et de leurs amis, j’avais vingt ans, mes appas avaient acquis un développement remarquable. Je dus leur paraître assez plantureuse pour servir à leurs ébats, car je fus une des quatre fouettées devant la loge Grand-Ducale avec le supplément habituel, bien que je n’eusse pas mêlé ma voix à leur trio.

Le postérieur du jouteur était sur mes fesses, la moitié entre mes cuisses, qu’il me recommanda de serrer. Je sentis que la cavalière s’enfourchait. Je le sentis bien mieux, quand ses grosses fesses, débordantes, vinrent se reposer sur le ventre, du fouteur, rejoignant les miennes, et qu’elle commença le roulement obligé.

Je serrais mes cuisses de plus en plus fort, malgré moi le séjour de la volupté se mit à imiter les mouvements de l’écuyère, et mon cavalier sentit bientôt son matelas se remuer sous ses fesses. Il frétillait encore quand les claques cessèrent.