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Page:D. - Mémoires d’une danseuse russe, 1893.djvu/454

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mains, qui pouvaient à peine les embrasser en entier, car ils dansaient une véritable sarabande.

Pendant vingt minutes, sa langue infatigable ne cessa pas un instant de lécher mon bouton, qui ne cessa de pleurer. Il se mouilla une douzaine de fois.

Le Grand-Duc était en état après cet exercice prolongé. Il me fit servir de matelas, comptant sur le frétillement dont mon postérieur était coutumier. Il se reposa sur mes vastes assises, et la cavalière vint s’encheviller. Le roulement des fesses avait à peine commencé, que je sentis mon bouton, bien qu’il me cuisit un peu, s’émouvoir, et elle n’était pas à la moitié du voyage, que le matelas se mit à frétiller au grand plaisir des fesses étendues dessus.

Je fus fouettée quinze jours après, devant la loge Grand-Ducale, avec trois de mes compagnes. Cette fois, ce fut dans l’appartement du frère, qui devait être renseigné sur mon compte, que je fus conduite avec une compagne.

Il avait les mêmes procédés que son frère pour encourager la cavalière à chevaucher