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enfouie dans une vraie broussaille de poils, faisant glisser ses doigts entre les lèvres satinées, venant jusqu’au clitoris, qu’il trouva très gros, mais qui ne s’émut pas au contact de ses doigts ridés.

Il me fit retourner, écarta le buisson, et constata la grosseur du bouton de rose.

— Bonne affaire encore. Va me chercher ce martinet de cordes. Déculotte-moi. Maintenant à genoux, et prends çà dans ta bouche, tu l’embrasseras jusqu’à ce qu’il bande. Ce sera peut-être un peu long, il n’est pas, comme tu le vois, de la première jeunesse, mais je te fouetterai jusqu’à ce que tu l’aies mis en état.

Je dus m’agenouiller entre ses jambes, accroupie sur mes talons, et prendre l’objet ratatiné dans mes lèvres, pendant qu’il me fouettait, penché sur mon postérieur en face d’une grande glace, qui reflétait tout le tableau. Comme mon chat était appuyé sur les talons de mes escarpins, chaque coup de cordes, que le vieux appliquait avec vigueur, faisait frotter ma fente contre la souple peau d’agneau.

Il vit bientôt mes fesses frétiller, mais il