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Page:D. - Mémoires d’une danseuse russe, 1893.djvu/504

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jeux, d’abord le plaisir des yeux en voyant gigoter ces fesses malmenées, et celui que je retire ensuite de mes deux, champions en rut.

Depuis que j’ai éprouvé la saveur de la langue de Mina, j’ai exigé de la fille de chambre, qui me les rend d’ailleurs avec autant d’ardeur qu’à côté, d’autres services qui ont bien leur prix. Quand Yvan me prend par devant, après m’avoir couchée sur le bord du lit, il me redresse ployé sur ses genoux, et pendant qu’il fouille le logis debout, toujours péniblement dans cette posture, mais à mon grand plaisir, Mina agenouillée entre le lit et mes fesses, se livre à toutes les caresses que j’exige d’elle, ne retirant ses lèvres et sa langue de leur occupation, que lorsque je n’ai plus besoin de leurs services.

FIN.