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Page:D - Lèvres de Velours, 1889.djvu/121

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que une dégelée de claques sur les fesses, laissant retomber sa main durement en cadence ; puis, glissant un doigt dans l’anus, elle l’enfonce dans les chairs, fouillant profondément me procurant ainsi, tout le temps que dure le manège, une suave sensation de plaisir, qui redouble d’intensité, quand, ouvrant ses écluses, mon engin lance un torrent de lave dans le petit réduit, étroitement serré par les contractions spasmodiques qui tordent l’empalée, suavement remuée par le double jeu.

Dès que nous avons regagné le lit, après les ablutions nécessaires, les deux chaudes amoureuses brûlent de reprendre les divertissements. Maître Jacques est au repos, mais elles trouvent vite le moyen de le réveiller. Couchées auprès de moi, moi sur le dos, elles sur le ventre, en sens inverse, elles me serrent entre leurs corps chauds et doux, une fesse à droite, une fesse à gauche de ma figure, le nez sur mes cuisses l’une a pris maître Jacques tout entier dans sa bouche, l’autre fait courir ses lèvres sur mes bourses d’amour, en prend une dans sa bou-