suis relevé, je quitte promptement mes derniers
vêtements, exhibant un Priape d’une superbe
dimension, qui fait l’admiration des deux belles
créatures, qui me paraissent joindre à leur passion
pour le sexe aimable, un goût prononcé
pour le sexe fort. Maître Jacques, qui a un
faible pour les sentiers étroits, se dispose à leur
servir un plat de sa façon. Ce goût, assez commun
aux Espagnols, me fait craindre que la
voie que je désire de frayer, n’ait été déjà pratiquée,
et je regrette que la première occupation
de la redoute ne soit pas mon fait, car le charme
s’augmente de la conquête d’un pucelage.
C’est par Dolorès que je dois commencer. J’examine la place forte ; rien n’indique une précédente occupation ; il est vrai qu’avec des précautions, un membre, même un peu gros, pénètre assez facilement dans l’étui, et peut s’y démener, sans laisser de traces d’effraction, tout en facilitant l’accès ultérieur.
La comtesse, après avoir habilement lubrifié, aidée par Cécile, l’orifice et l’engin, qui doit le percer, vient m’aider dans le perforage de