mord jusqu’au sang, quand sous la grêle de
coups qui cinglent ses fesses, son vagin tordu
pompe mon dard jusqu’à la dernière goutte,
dans une étreinte qui n’en finit pas.
La princesse, que son exercice a mise en feu, n’a pas besoin de stimulants aujourd’hui. Les spectatrices ont aussi puisé dans ses émoustillants tableaux des désirs furibonds, mais elles ne seraient pas fâchées d’éprouver par elles mêmes les douceurs de la fustigation. Tout le monde se déshabille, Lola, Mina et Lison s’étendent sur le tapis, côte à côte, un coussin sous la tête. Blanche, Agnès et Mercédès se couchent renversées sur les trois soubrettes, pour s’offrir avec la langue une mutuelle et réciproque volupté, ces trois dernières exhibant leurs superbes mappemondes sur la même ligne ; Conchita, Dolorès et Sophie montent à califourchon sur les corps des trois amies, la fente reposant sur les reins, tournées vers les mappemondes, de façon à les avoir sous les yeux, et à la portée de la main. Elles cinglent