chantée de me recevoir là, m’aide à m’y glisser,
toujours assez difficilement. Quand je suis
logé, j’enlève dans mes bras le corps de l’empalée,
le détachant de celui de Cécile, pour retomber
violemment, l’enlevant et retombant de
nouveau, en donnant de vigoureux coups de
reins. Chaque effort que je fais pour enfoncer
la quille, repousse rudement la croupe que je
fouille, et les cuisses de Mercédès viennent claquer
sur les fesses de Cécile, communiquant
la secousse au clitoris de l’enclouée, qui, à
chaque voyage, est agréablement remuée. Bientôt,
sentant que le canal se rétrécit, je dépose
la comtesse sur le corps de Cécile, et fouillant
la gaîne doucement, je sors et je rentre, laissant
en place la croupe que je repousse des
deux mains, et enfin, enfoncé jusqu’à la garde
dans l’étui, j’y décharge, immobile, laissant
la comtesse se frotter à son gré sur le cul
qu’elle inonde d’une abondante rosée.
Le lendemain, nous regagnions Paris dans un sleeping-car, loué à notre intention.