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Page:D - Lèvres de Velours, 1889.djvu/195

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ton, se pose sur le clitoris et le branle d’un mouvement rapide et léger, tandis que les yeux dans les yeux, suspendue aux lèvres de la mignonne qui tremble comme la feuille au vent, délicieusement remuée et plongée dans un ravissement divin ; maître Jacques, acquérant le plus haut degré d’amplitude, garnit exactement le vagin et écrase le velours contre le clitoris, en inondant le récipient de ses faveurs. Quand elles reviennent du cabinet de toilette, Mercédès emporte la soubrette dans ses bras, la dépose sur le lit, se couche à son côté, entre Cécile et moi, me reléguant sur le bord extérieur et se tournant sur le flanc gauche vers la blondinette qui en fait autant de son côté, elles recommencent à se becqueter amoureusement. Je me tourne à mon tour sur le côté, me serrant contre le dos de Mercédès, collé à ses reins, à ses fesses, à ses cuisses ; maître Jacques est sous les fesses, dans le creux formé par l’angle du cul bombé et la naissance des cuisses, dans un nid bien chaud, où il s’étire paresseusement. Bientôt la chaleur le