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Page:D - Lèvres de Velours, 1889.djvu/76

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la nuque de Miss Pirouett, comme pour l’incruster entre ses cuisses, qui s’écartent, qui reviennent, recommençant le mouvement, pour revenir brusquement comprimer la tête, pendant qu’elle pousse des soupirs enchantés, et que ma monture tortille du cul, et serre, dans son vagin crispé, mon membre qui y lance sa mitraille brûlante. À côté de nous, et sous Mercédès, les tribades, pâmées, ne finissent pas de gémir voluptueusement.

Miss Pirouett, se dégageant vivement, retombe sur ses pieds, saute à cheval sur Mercédès, les jambes pendantes, à droite et à gauche, s’étend sur son corps, lui prend les lèvres, et, la toison sur la toison, commence à chevaucher comme un homme ; mais trouvant sans doute, qu’ainsi placée à califourchon, il n’y a pas une assez grande intimité entre les deux toisons, elle se laisse glisser, revient entre les cuisses écartées de la comtesse, se penche sur elle, les jambes serrées, pour se bien frotter contre le bas du ventre. Les fesses serrées nerveusement l’une contre l’autre, se trouent de deux fosset-