fesses se crispent, frissonnent, se trémoussent,
s’écartent, se referment comme dans un éclair,
et enfin restent épanouies, secouées encore dans
un tremblement convulsif, montrant au bas de
la raie, bien large maintenant, la petite tache
noire, dans laquelle j’enfonce deux pouces de
langue, apportant ainsi mon piment à la volupté.
Quand Miss Pirouett et Mercédès sont dégagées, Cécile et Lola, écrasées l’une sur l’autre, palpitent encore, secouées par les dernières convulsions du plaisir. Quand on les relève, leurs chairs moites sont collées, elles sont toutes rouges, congestionnées ; les seins agités se soulèvent gonflés, elles ont des moustaches d’écume, leurs yeux sont humides et languissants, et elles gagnent le cabinet de toilette titubant comme des femmes ivres.
Miss Pirouett, avant de nous quitter, sollicite le coup de l’étrier pour elle et pour les deux étrangères. On descend un trapèze ; la ballerine, qui est aussi une gymnaste distinguée, s’accroche à la barre, s’enlève à la force des poignets, balance un moment son corps, prend