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Page:D - Lèvres de Velours, 1889.djvu/93

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comme une bête fauve et la pénètre en un clin d’œil, pendant qu’un autre le remplace aux cuisses, pour maintenir la victime, qui a cessé de hurler pour gémir, tendrement rassurée, sans doute, par l’issue heureuse du premier assaut ; le second s’achève aussi heureusement pour elle et pour le jouteur qu’un troisième remplace aussitôt, car la machine remontée jusqu’au dernier cran, ne cesse pas de tourner. Mais la troisième, qui est Miss Pirouett, a retourné la patiente, et s’escrime dans le derrière où il parvient, après quelques rudes coups de cul ; à enfoncer sa grosse machine, non sans douleur pour la victime, qui recommence à pousser des cris à fendre l’âme, ce qui ne fait qu’exciter la fureur du pourfendeur, qui se démène comme un beau diable dans la lice, et, quand il abandonne le champ de bataille, après l’avoir labouré sans merci, il y laisse l’engin planté jusqu’à la garde, nous montrant, quand il se relève dépouillé de sa verge factice, les lèvres vermeilles qui coupent ses cuisses d’une fente propre à son sexe.