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Page:D - Le marbre animé, 1889.djvu/114

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agenouillé, le nez perdu dans les dentelles, embrasser dans le nid des amours, le cher petit bouton, jusqu’à ce que la belle se torde pâmée, fléchissant sur les jambes, ployant les genoux sous le poids du plaisir, et pressant ma tête pour faire coller mes lèvres aux siennes ; tantôt la recevant sur une chaise, à cheval sur Jacques, les jupes relevées ; tantôt culbutée sur le bord du lit, ses jambes autour de mon cou, me faisant un collier, ou bien la fouillant en levrette, l’ayant toujours au préalable disposée au plaisir par une verte fessée. Parfois, étendus sur un tapis moelleux, moi dessous, elle dessus, la princesse relève ses jupes, fripant sans regret les dentelles du plus grand prix et descendant son cul sur mon nez, elle vient m’offrir dans la grotte entrebâillée, le clitoris énamouré. La tête entre mes cuisses, elle prend mon priape dans sa bouche, et le suce