Aller au contenu

Page:Dacre - Zofloya, tome 3.djvu/174

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


CHAPITRE XXVIII.


Henriquez s’éveilla, après s’être entretenu toute la nuit dans ses songes, de l’aimable créature qu’il comptait bien voir aussitôt son lever. Lilla avait pour habitude de se promener le matin, à l’entrée du bois, dans un endroit très-ouvert et garni de petits buissons d’arbustes de toute espèce. Elle venait là prendre le frais, et y trouvait son ami, ayant un livre à la main, en attendant son arrivée.

Cette fois il l’attendit plus long-tems que de coutume ; il marcha avec patience pendant environ une