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Page:Dacre - Zofloya, tome 3.djvu/27

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CHAPITRE XXI.


L’âme tout-à-fait dégagée de remors, et le maintien assuré, Victoria se réunit à la société pour souper. Son teint était plus animé que de coutume, et tout son être se tenait en harmonie avec les espérances horribles qui étaient renfermées dans son sein.

Berenza lui témoigna le plaisir qu’il avait à la voir plus gaie, et s’approcha pour l’embrasser. Elle répondit avec un mouvement d’impatience à ses caresses ; et, en le repoussant, elle le toisa de la tête aux pieds, avec un sourire de démon. Le malheureux Comte prit ce