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Page:Dacre - Zofloya, tome 3.djvu/73

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jamais, je le répète, il ne sera en mon pouvoir de vous récompenser comme vous le méritez.

— C’est me récompenser, madame, que de continuer à accepter mes services. Daignez maintenant m’écouter : vous voulez que le comte Bérenza meure tout d’un coup. Je crois plus prudent de le laisser aller jusqu’à ce que le poison ait entièrement produit ses effets. Mais comme je n’ai d’autre désir que de vous contenter, tout en nous gardant du danger de manquer notre affaire… voici une drogue dont j’assure la vertu la plus prompte. De peur, cependant, qu’il ne survienne quelque chose qui arrête ses progrès et qu’il ne faille une petite addition ou une plus grande force de la dose, je vous recommanderais de l’essayer