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Page:Darien - L’Épaulette, Fasquelle, 1905.djvu/272

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terminée, il roule les yeux et tord sa gueule pour l’invective.

— À bas Ferron ! Vive Boulanger ! À bas les traîtres !…

Il écume, il grince, il siffle. On lui a enlevé son fétiche. Il ne sera heureux que lorsqu’on le lui rendra. Celui-là ou un autre. N’importe quel pantin dont il pourra faire une idole, qu’il pourra encenser ; n’importe quel raté, n’importe quel vaincu, n’importe quel fuyard…