Aller au contenu

Page:Daudet - Les Amoureuses, Charpentier, 1908.djvu/54

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Je songe que tout doit finir,
Même un poème d’humoriste,
          Clic ! clac !
Et qu’un jour prochain peut venir
Où je serai bien seul, bien triste,
          Clic ! clac !

Lorsque, — pour une fois,
Mes oiseaux prenant leur volée,
          Clic ! clac !
De loin, sur l’escalier de bois,
J’entendrai, l’âme désolée :
          Clic ! clac !