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Page:Daveluy - Le cœur de Perrine, 1936.djvu/135

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Perrine renvoya la Huronne sans lever les yeux sur elle…

chait. Elle l’entendait maintenant. Il consolait Pierrot qui faisait des résistances. Il voulait être posé à terre et courir avec la jolie Huronne qui lui taquinait la joue avec une branche de foin. Un peu avant d’atteindre le pommier où se cachaient Perrine, Manette et la petite nièce, le capitaine se départit de sa sévérité. Il posa le petit à terre et fit signe à la Huronne de lui abandonner tous les récipients. Celle-ci refusa. En haussant les épaules, le capitaine lui retira, non sans peine, chaudières