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Page:Daveluy - Le cœur de Perrine, 1936.djvu/152

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n’aurais pas dû revenir… Sans être appelée du moins, ou par toi… ou par… mon mari, ajouta-t-elle avec effort. J’avais cru bien faire, pourtant.

— Ma pauvre sœur, fit Charlot, aussitôt touché, ne dis pas cela. Je suis si heureux, malgré tout, de te savoir enfin auprès de nous. Mais… tout cela m’a pris au dépourvu… Tiens… si tu le veux, tu vas te retirer… Tu as besoin d’une bonne nuit de repos… Moi aussi… Cette chasse d’où je reviens bredouille m’a éreinté… Je vais fumer un instant… puis je me retirerai aussi… Demain, nous reprendrons cette conversation avec plus de calme… Puis, André doit être mis au courant.

— Tu lui parleras, mon frère. Cela suffira.