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Page:Daveluy - Le cœur de Perrine, 1936.djvu/254

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M. Souart poussa un soupir de soulagement. Il attendait depuis quelques minutes cette réaction physique chez la jeune femme. Il s’effrayait de la voir si lente à se produire.

Mais l’énergique Perrine, tout en essuyant, ou en laissant couler ces larmes, agissait, ordonnait tout.

Elle appela Manette. Elle la chargea de préparer la chambre de Charlot « qui avait été blessé, » apprit-elle, d’une voix sans timbre. On allait le transporter ici, dans une demi-heure peut-être.

— Et Monsieur André, Madame ? Il dort en ce moment, c’est vrai, mais s’il s’éveillait…


Charlot tomba, atteint au-dessus du poumon droit.